Création d’estampe2023-09-11T09:56:13+02:00

L’escargot qui vole

Créateur d'estampe

Gravure en taille douce et monotypes

L’escargot qui vole s’exprime par la gravure en taille douce,  et expérimente d’autres techniques d’impression comme le monotype, la  collagraphie, ou la linogravure.

L’escargot qui vole

Créateur d'estampe

Gravure en taille douce et monotypes

L’escargot qui vole s’exprime par la gravure en taille douce,  et expérimente d’autres techniques d’impression comme le monotype, la  collagraphie, ou la linogravure.

La gravure en taille douce,
comme mode d’expression

Ni le désert blanc du papier,
Ni le crayon charbonneux,
Ni la gomme crémeuse ne m’incitent à dessiner.
Il me faut pour cela user de chemins détournés :

La technique de l’impression sur papier est un chemin de création.
La gravure m’a choisie.
Les outils bien en main :
Les pointes affûtées,
le violent ébarboir et le doux brunissoir.

Par ce procédé indirect :
Le métal gravé s’enrichit,
D’un dessin sculpté en douceur et en finesse :
La gravure en taille douce.

Par le travail et l’attente nécessaire,
Avant que l’image ne soit révélée, un champ de liberté s’ouvre :
Etre soi-même et de l’exprimer avec rudesse et douceur mêlée.

Mes gravures parlent des choses de la vie :
Parfois grossissement d’une anatomie imaginaire,
Parfois allégorie des émotions,
Toujours prière pour aimer vivre.

portrait-d-atelier

J’ai découvert la gravure en 2003, en participant à un stage animé par L’artiste Gérard Gwezenneg. C’était une double rencontre, à une période charnière de ma vie : rencontre d’un artiste et rencontre d’une technique qui faisait écho en moi et me donnait une direction de travail et un chemin de vie. La presse tant utilisée par le maître est arrivée à l’atelier de l’élève, et remise en service en 2013 pour l’envol d’un certain escargot…

La gravure en taille douce,
comme mode d’expression

Ni le désert blanc du papier,
Ni le crayon charbonneux,
Ni la gomme crémeuse ne m’incitent à dessiner.
Il me faut pour cela user de chemins détournés :

La technique de l’impression sur papier est un chemin de création.
La gravure m’a choisie.
Les outils bien en main :
Les pointes affûtées,
le violent ébarboir et le doux brunissoir.

Par ce procédé indirect :
Le métal gravé s’enrichit,
D’un dessin sculpté en douceur et en finesse :
La gravure en taille douce.

Par le travail et l’attente nécessaire,
Avant que l’image ne soit révélée, un champ de liberté s’ouvre :
Etre soi-même et de l’exprimer avec rudesse et douceur mêlée.

Mes gravures parlent des choses de la vie :
Parfois grossissement d’une anatomie imaginaire,
Parfois allégorie des émotions,
Toujours prière pour aimer vivre.

portrait-d-atelier

J’ai découvert la gravure en 2003, en participant à un stage animé par L’artiste Gérard Gwezenneg. C’était une double rencontre, à une période charnière de ma vie : rencontre d’un artiste et rencontre d’une technique qui faisait écho en moi et me donnait une direction de travail et un chemin de vie. La presse tant utilisée par le maître est arrivée à l’atelier de l’élève, et remise en service en 2013 pour l’envol d’un certain escargot…

Paris UFR 04, 2001-2003, impression multiple

Installation d’Estampe Monotype, UFR 04, Paris Panthéon Sorbonne,2003

100 monotypes habillent une piece entiére pour constituer un décor emprunt de spiritualité intime.

J’ai pratiqué le monotype, à l’université, découvrant le plaisir de la couleur, de l’impression aléatoire, Le monotype permet un foisonnement d’évocation et d’imagerie, par un procédé simple : de l’encre sur une plaque de verre qui sert de matrice, le papier absorbe cette encre, ou la laisse sur la matrice … et arrive la liberté d’expérimenter la répétition unique : la couleur laisse une trace qui est mémoire d’estampes plus anciennes réalisées avec la même matrice.

Au travers du monotype j’explore le coté sensible, fragile et lumineux de mon univers : évocation de la nature, ou abstraction colorées. La couleur est évocation d’un souvenir, trace d’un univers sensible, mémoire d’un passé, sentiment d’un cheminement vers la lumière… d’où le développement d’une activité de création de luminaire.

J’ai pratiqué le monotype, à l’université, découvrant le plaisir de la couleur, de l’impression aléatoire, Le monotype permet un foisonnement d’évocation et d’imagerie, par un procédé simple : de l’encre sur une plaque de verre qui sert de matrice, le papier absorbe cette encre, ou la laisse sur la matrice … et arrive la liberté d’expérimenter la répétition unique : la couleur laisse une trace qui est mémoire d’estampes plus anciennes réalisées avec la même matrice.

Au travers du monotype j’explore le coté sensible, fragile et lumineux de mon univers : évocation de la nature, ou abstraction colorées. La couleur est évocation d’un souvenir, trace d’un univers sensible, mémoire d’un passé, sentiment d’un cheminement vers la lumière… d’où le développement d’une activité de création de luminaire.

Installation d’Estampe Monotype, UFR 04, Paris Panthéon Sorbonne,2003

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